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| Souls don't meet by accident | ft Percy | |
| Personnage Nature : (Descendante) issue du siècle dernier, magie de Novella court dans tes veines (vie antérieure).
Âge : Vieille âme (1845) prisonnière d'une enveloppe candide, (25 automnes) consumés depuis la renaissance (01.11.2007)
Alias : (Fatum) prophète de sang, destin file entre les doigts.
Occupation : Nouvelle recrue de la cabale, (Damoclès) guide tes pas et crame tes pensées. Gardienne des secrets du Fabula Sacra, protectrice des paladins de la cour sacrée.
Statut : (Célibataire) palpitant apprend à battre pour une cause qui te dépasse.
Mutation :
F A T U M
☾ ☾ ☾
Magie du sang, ni bonne ni mauvaise, dépend de l'utilisation. Autant offensive que défensive, sauver des vies ou remplir des cimetières, remonter l'histoire d'une lignée ou prédire l'avenir d'un individu. Capricieuse et dangereuse en raison de son caractère imprévisible. Une lueur rouge survient au creux de la rétine lors de l'utilisation de tes capacités.
| SOCLE COMMUN |
‣ Force et résistances surhumaines [nv 1].
| SOCLE SINGULIER |
‣ Haruspicine [nv 1]
Lecture du passé d'un individu avec son sang, courtes prémonitions d'événements proches // Visions souvent troubles // Migraines surviennent quand elles sont trop rapprochées.
‣ Sortilèges [nv 1]
Incantations et rituels avec ton sang ou celui d'un autre individu // Sorts tiennent max une semaine // Te prennent beaucoup d'énergie.
‣ Nécromancie [nv 1]
Capacité à ramener un organisme mort à la vie // A ce stade, uniquement des animaux de petit gabarit mort depuis 4 heures max // Besoin de l'immerger dans le carmin d'un autre animal.
‣ Hémokinésie [nv 2]
Lecture et manipulation d'autrui grâce à son sang // Connaissance de ses forces et faiblesses physiques // Lien se forme dès le pourpre en bouche.
| ANOMALIE |
Régime alimentaire sanguin, appétence développée dès l'apparition de ta mutation.
| SIGNATURE |
Lueur rouge survient au creux de la rétine ou de la paume lors de l'utilisation de tes capacités.
Entraves :
Fatigue du corps : importance d'écouter les besoins ton corps pour ne pas détériorer son état et entraîner des saignements, courbatures, vertiges, etc.
Frein de l'esprit: : incapable de lancer un tout nouveau sortilège ou pratiquer un rituel de nécromancie sans avoir la formule sous les yeux.
Fardeau du sang : besoin d'en consommer pour pratiquer et gagner en puissance sinon la magie puise dans tes ressources et t'épuise.
Infos diverses :
Sortilèges appris :
‣ Transférer les effets néfastes d'une personne sur un objet. Durée moyenne de 6 heures, variable selon ton énergie.
Date d'inscription : 24/03/2024
Messages : 390
Dollars : 10018
Faceclaim : Charleen Weiss
Crédits : (hécate) avatar // (abyssal) crackship // (abyssal) code signature + (la galerie des horreurs) icons + (hellblade II) quote
Infos Rp : Réponse régulière, ordre selon l'humeur, écriture en français.
MARS 2033 : Helga
AVRIL 2033 : Luke
SEPT 2033 : Percy
Thèmes abordés : Religion, fanatisme, alcool, drogue, tabac, sexe, violence, sang, meurtre, mort, sacrifices humains et animales, traumatismes, (auto)mutilations
| (#) 01.11.24 23:21 | |
| Le feutre en main, tu remplis la page de rouge, de vie, de passion. Un carnet de plus à vomir des images comme des hantises dont tu n’as pas le moindre souvenir. Mais elles sont pourtant là, quelque part et il te faut les évacuer pour tenter de comprendre. Le parce-que au pourquoi. Pourquoi cette obsession ? Pourquoi ce besoin ? Alors tu fais ce que tu sais faire de mieux, être sans vraiment être. Invisible parmi les vivants. Le monde oublie que tu existes et tu oublies qu’un monde existe, autour de toi, au-delà de toi. Parfois, ce monde te réclame subitement et tu te retrouves à devoir composer avec. Le professeur t’attribue un binôme pour le devoir. Quel devoir ? Tu relèves la tête et cherches la sienne. Une tête familière. L’est forcément. Des mois à suivre les mêmes cours. Des cours interminables. Et tu ignores encore qui sont tes camarades. Larguée au milieu de l’océan. Tu ne te noies pas, tu nages simplement à contre-courant. C’est lui ? Mauvaise pioche, il s’assied à côté d’une autre. C’est lui ? Non plus. Haussement de sourcils. Dubitative, tu observes les candidats restants. Quand l’un d’entre eux vient s’installer à tes côtés. C’est lui ?! La vedette de l’école. Si tu ignores son identité, tu connais son visage ainsi que son curriculum. Tout le monde en parle. Dans les couloirs, les vestiaires, les toilettes. Tu associes désormais le visage au nom au curriculum. Et la salle de classe l’observe, t’observe et tu te sens d’un coup, beaucoup trop visible. Mal à l’aise. Le regard fuit, tu fermes ton calepin, poses ton feutre. La bouche s'entrouvre, la poitrine se soulève. Tu grattes nerveusement la cicatrice sous l’amas de cheveux. Jusqu’à ce que l’attention se dissipe enfin.
2025 | HIGHSCHOOL NEW-YORK.
Le sang coule, gicle. Tu vois la toile se composer, le sang coule des plaies, gicle des bouches; là où les coups résonnent, les corps se fracassent et il s’échappe. Tu l’observes dégouliner, fascinée. Vision alléchante. Immersion enivrante dans le chaud du sud. Première fois que tu te rends au cœur de l’arène. L’impression d’avoir encore tellement de lieux à découvrir. Celui-ci te plaît oh oui il t’appelle car le sang coule et la peinture dégouline et l’essence gicle, nourrissant ton obsession. Pas une obsession. Un besoin. Ou peut-être un besoin obsessionnel. Nul ne le sait. Tout le monde le ressent. Chacun à sa façon. Les résonances entre les paladins t’échappent encore. Trop chahutée par tes propres échos en images en murmures en sensations. Des vies entremêlées et la tienne au derrière ou devant de la scène. Tu n’es pas venue seule ce soir. Umbra t’escorte au milieu du chaos pas si chaotique. Des règles aux mises imposent l’ordre. Une vraie organisation contre un paquet de pognon. Umbra reçoit un appel et tu ne fais pas attention. Captivée par les coups de pinceaux et les corps de chair qui suintent de ce rouge sublime. Umbra doit s’absenter une heure, le temps d’une heure mais qu’est-ce que le temps quand le tableau est si beau. Tu hoches la tête sans te soucier de son départ. Car tu te sens bien. Pourtant tu ne sembles pas à ta place. Trop pâle ou trop frêle, l’apparence dissimule l’esprit et son précipice. Un saut vers l’inconnu au bout duquel la mort t’attend. Tu es revenue de la mort. Alors aucun précipice ne sera suffisamment profond pour t’avaler toute entière. Des fragments persistent. Ils persistent toujours. Le néant n’existe pas. L’existence prouve le contraire. Tu te retrouves seule ce soir. Ou presque. La foule en nombre important t’enlace. Ce contact ne te dérange pas. Ne t’oppresse pas. Car tu demeures rivée sur la beauté du spectacle, le talent de l’artiste. Visage dissimulé, dos exposé. Seule la musculature nourrit le regard. Il peaufine son œuvre, termine son offrande. L’adversaire tombe à terre et la sorcière observe la marée de sang. Grande respiration. Longue expiration. La porte de la cage s’ouvre, le palpitant se presse, compresse et tu t’engouffres spontanément. Tes doigts tu les imagines glisser à même le sol, s’étaler, se mélanger au rouge tellement rouge si rouge que la réalité appartient au passé. Quand des doigts s’enroulent à ton poignet, s’accrochent à ta peau, te ramènent de force à la réalité présente. Les iris se posent une seconde, la seconde de trop sur le visage. C’est lui. Des années en plus. C’est lui. Des caresses en moins. C’est lui. Depuis votre dernière croisade, des mondes ont disparu, d’autres ont surgi. “C’est toi ?” Son prénom, tu ne le prononces pas car tu sais, avec une certitude absolue que c’est lui, tu ne sais pas en revanche s’il est là bien là, si son souvenir inonde ton horizon ou si ton horizon contient son souvenir.
2033 | SOUTHSIDE LOS ANGELES. _________________ - endless misery -THERE ARE SOME WILLS SO STRONG THEY DREAM A NEW WORLD. A HEL(L) OF THEIR OWN CREATION. IF YOU WAKE THE DREAMER, DOES THE NIGHTMARE DIE ? |
| | | Personnage Nature : (( descendant )) meta
Âge : (( 25 ))
Alias : (( mistwalker ))
Occupation : (( beware of the dog )) inspecteur, second amendement
Statut : (( poudre de fée )) dans les narines
Zone libre :
force de l'ordre, inspecteur » réserviste pour l'armée américaine après avoir passé plus d'un an à la servir » cerbère, n'fait qu'un avec ses deux compagnons » boxeur, apprécie être fracassé contre un tapis ensanglanté » enfant d'super » pourtant regard mauvais sur la firme et ses pantins en tutu » fils à mother » triumph bonneville scrambler 900 » odeur cendres, sel marin et amande grillée » melancholic » (d)anger » bruised body, broken soul » dobermann s'est laissé adopter, a adopté? n'sait pas mais elena est désormais à ses côtés
╰☆╮
Mutation : [ fumée ] ★ fumigène (lgi mle f1)
(3) corps-fumée (invisibilité liée à la transformation, furtivité), déstabilisations
★ (munition au) phosphore blanc (obus m64)
(1) fumée par incendie (chaleur extrême, brûlures sur autrui)
☆ socle commun (nv. 1)
Entraves : [ entraves ] ☼ latence (temps de rechargement)
☼ vent & dispersion (affaibli face aux mutations liées à l'air, exacerbé face aux mutations liées au feu)
☼ avoir leur peau (socle 2 + lui donne du fil à retordre pour les brûler)
[ signature ] ☼ brume blanche (branche 1) ou ambrée (branche 2)
☼ odeur de cendre
[ anomalies ] ☼ accoutumance à la sensation éthérée
☼ corps fiévreux, chaleur constante
☼ cheveux deviennent poivre et sel (quelques mèches blanches apparaissent petit à petit)
Date d'inscription : 11/10/2024
Messages : 182
Dollars : 5360
Faceclaim : jacob rott
Crédits : lumos solem (avatar), sjiest (icons)
Thèmes abordés : violence paternelle ; abandons ; deuil (meurtre et suicide) ; violence accrue ; flic
Thèmes refusés : rien à priori, à communiquer ♡
| (#) 06.11.24 18:44 | |
| enfant d'coeur, enfant d'lune, enfante mon coeur
2025 | HIGHSCHOOL NEW-YORK
Premier mois. Cœur déchiré de murs qu’il ne frôle pas. Des rires qu’il connaît par cœur, d’une scolarité voulue à leurs côtés. Deuxième mois. Impossible au deuil de se créer, oublier aurait pu arrêter le saignement, les cauchemars cesser sous les tourments ; mais la promesse s’est écrite. Pour l’éternité. Troisième mois. S’acharner sur un compte mirror pour s’accrocher à ce qu’il peut, ce qu’il découvre d’une âme éloignée. Se rendre compte que des semaines couleront avant que les coeurs ne se retrouvent. Quatrième mois. Genou agité, a toujours détesté les travaux d’groupe, vient mettre en lumière ses difficultés à la face de l’autre. Ses fautes rendent son écriture toujours illisible, presque cinglante pour les yeux. Ne veut montrer si facilement les failles d’une superficialité soignée. Attendrissant quand il n’y a qu’à crier sa gloire sur un terrain de football ; ne récupère aucun mépris ainsi. Avant d’se rendre compte qu’le sportif n’est qu’une carcasse mal pensante. Se lève, refoule une inquiétude en serrant une mâchoire prête à exploser sur la table. Accroche son regard à elle, parce qu’il y a ceux d’une classe qui découvriront vite la supercherie ; parce qu’elle découvrira rapidement qu’il n’est qu’une fraude. S’installe en tournant la chaise, cuisses écartées entre le dossier, avant-bras posés sur le bois pour afficher une nonchalance. Et lorsque ses yeux ne s’accrochent plus au sien, fait tomber sa joue contre son avant-bras. “Percy” tend une main toujours brûlante, signature d’une mutation qui germe depuis des années. “Alors… période historique ayant marqué les esprits…” tente de creuser dans une cervelle qui r’tient pas grand chose d’une vie à laquelle il n’a pas appartenu. Devoir pour apprendre à connaître les sensibilités des élèves qu’le Professeur énonce. Souffle lourd tant il n’a rien à proposer de satisfaisant à la camarade. “premier pas sur la lune ?” sourire un peu trop blanc s’affiche, balaye d’un revers de main les hésitations d’un intellectualisme inexistant. La plaint d’être tombé sur lui. La plaint de ne pouvoir lui apporter rien d’bien intéressant.
╰☆╮
2033 | SOUTHSIDE LOS ANGELES
Premier mois. Incertitudes d’sa propre présence. Foule l’asphalte d’une terre connue d’un territoire non conquis. Difficile traversée dans laquelle il s’perd davantage. Néons séraphéens pour accueillir un homme à l’insigne dégarni. Deuxième mois. Danger court les rues et les dorures mettent des oeillères. Ne s’étonne déjà plus d’voir débarquer des collants fluo pour transpercer les corps. Dégueule sur leurs vaines tentatives d’héroïsme signées marketing. Troisième mois. Sensation d’inutilité. Inutilité à l’retrouver, inutilité à protéger. Les âmes éprises d’un opium pourrissant sous gloire et beauté. A chaque jour sa peine quand l’saignant se met à dégouliner à nouveau. Quatrième mois. S’écrase contre une cage, force abrupte où déborde la fureur primaire. L’sang de l’homme qui tâche son ichor, dorure orne un torse bombé sous les coups. Fièvre combative rend l’animal enragé. Coriace la carcasse qui se fait balancer contre les barreaux sans en éprouver le moindre mal. Sourire trop malicieux pour soupçonner la douleur. C’est qu’le cœur a pris le relais, ne reste plus rien pour l’faire battre si ce n’est le sang chaud qui coule sur ses lèvres. Corps abrite le cimetière de ses songes, les laisse se faire piétiner par leurs phalanges. Et pourtant y’a cette flamme, l’ardeur d’un bas ventre où les papillons continuent d’s’envoler. Un espoir qui reste tapis dans l’ombre, ne s’éveille seulement qu'au dernier moment, comme si l’instinct de survie surgissait à nouveau. Enfant soldat n’peut s’en arrêter là. L’adversaire ne devient que bouillis, ressemble à son propre vomis d’dégoût. N’a plus rien du loup féroce sinon la créature difforme abattue de ses mains. Plongé dans une psychée défaillante, plus aucune notion d’temps ni d’espace n’lui permettrait d’se raccrocher à son identité. Yeux voilés d’une colère pitoyable. Babines écumeuses noient ses regrets amers. “C’est toi ?” lève des iris instables, inconscient d’se présenter en chien écorché sortant d’sa cage. Liberté nouvelle dans laquelle il ne sait comment naviguer, plus à l’aise avec une laisse. Regard longe le corps frêle, s’arrête sur le bleu océan. Vagues à l’âme. Plonge dans ses abysses. Les siennes, et l’myocarde qui reconnaît. Quand la raison n’arrive à mettre le nom sur l’enfant de lune. Crache à ses pieds du sang pourri. Puant d’son excessivité. “Moi ?” penche le visage sur le côté, neurones amochées qu’ont toujours besoin d’un temps d’latence. Parce que si le cœur sait, qu’il pleure déjà auprès d’celle qui lui a permis de nager dans les eaux profondes, l’esprit ne peut se marier avec dans l’arène. Ne peut étaler les souvenirs sinon les cauchemars au risque de réaliser le mal. “Qui veux tu que je sois ?” et l’blanc du sourire se mélange au carmin, mine glorifiée dans l’chaos.
@Clarissa Mooney
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