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 (2025) Let's twist again | ft. Luke

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Dorian Parker
Dorian Parker
membre de bronze
Personnage
(2025) Let's twist again | ft. Luke Tumblr_pl3h2tufpC1ueapts_500
Nature : Metahumain - Primum Agmen
Âge : 35 ans.
Alias : The Trickster.
Occupation : Criminel. Chef de Gang. Génie du mal. Bla. Bla. Bla.
Statut : Dispo. T'as un CV ?
Mutation : Socle Commun | Niveau 2

Acide (composé chimique)

#Corrosif (niv2)| Le sujet est capable de cracher de l’acide à plusieurs mètres de distance. La quantité est de maximum 5L. Très corrosive, la substance peut désormais dissoudre des matières « dures » tels que le plastique ou les métaux (à l’exception de l’or, l’argent, le platine, l’iridium, le palladium, le rhodium, le ruthénium et l’osmium).

#Cyanure (niv2) | Le sujet est capable de changer son haleine en un gaz hautement toxique. Le niveau de concentration de ce gaz ne lui permet d’être mortel que s’il est inhalé en direct proximité pendant plusieurs dizaines de sec. La quantité de gaz rejeté ne permet pas d’atteindre gravement plus de 2/3 personnes selon l'âge, la corpulence, etc... La plupart du temps, l'exposition entraine une perte de connaissance douloureuse.
Entraves : ❯ Il boit beaucoup d'eau sous peine de risquer la déshydratation
❯ Il doit uriner davantage que la moyenne
❯ Il a le cerveau atteint par l'acide : états psychotiques persistants ou instables, perte de contact avec la réalité, délire de grandeur, incapacité à faire preuve d’empathie…
Infos diverses : #TOCs

❯ actionne deux fois la poignée de chaque porte qu’il ouvre
❯ se lèche la paume de la main droite après s’être lavé les mains
❯ achète toujours tout par multiple de deux
❯ collecte tout ce qui a un rapport avec Atom
Date d'inscription : 06/05/2024
Messages : 61
Dollars : 245
Faceclaim : Austin Butler
Crédits : icemacklin. (avatar)
Thèmes abordés : crimes | sexe | drogues | violences | folie
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Rôliste

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Message(#) (2025) Let's twist again | ft. Luke Empty09.05.24 13:19

2025 - Let's twist again
@Luke Kelley & @Dorian Parker

L’ancien parc à thème de la zone sud n’était pas en très bon état. Mais le « cadeau » de la Cour Sacrée pour récompenser ses investissements rendait Dope plus qu’heureux. Il venait de passer trois bonnes heures, sans bouger, à lever les yeux vers le château de princesse grandeur nature qui trône à l’entrée de l’esplanade désaffecté. Il n’y avait plus aucune fenêtre et on devinait sans peine les silhouettes zombifiées des toxicomanes trébuchés dans la pénombre de ses couloirs. Le ciel était sombre aujourd’hui, malgré la chaleur étouffante qui recouvrait Los Angeles en ce mois de juin, sublimant cet endroit aux yeux de plus cinglés des métahumains. Perdu dans ses rêveries, Dope ne fut réveiller que par sa bave s’écoulant de son menton, coulant sur son torse.

Avec la canicule et l’air putride d’une zone sud où le système d’égout refoulait pas mal du bec, surtout ici, il n’avait rien mieux trouver à se mettre qu’une chemise aux manches courtes, entièrement déboutonnée, laissant passer les légères brises qui lui caressait le dos en lui donnant quelques frissons. Et quand il frissonnait, le Trickster tordait son cou en craquant ses cervicales. Machinalement, il remonta son shirt trop grand, tenu par une moitié de bretelle à son épaule droite, sous la chemise, dégaine d’un homme qui n’avait pas l’esprit assez sain pour choisir une tenue cohérente, surtout lorsqu’il n’escomptait pas quitter la zone sud. Ici, juger quelqu’un sur sa tenue était le sport le moins répandu. D’autres priorités occupaient le quotidien des malfamés et des affamés.

Dope s’était activé pour fêter cette crémaillère particulière. Quelques-uns de ses sbires, déjà saouls, installaient des guirlandes clignotantes – lorsqu’i restait des ampoules -  sur les lampadaires depuis longtemps obsolètes. Debout sur des tabourets, ces spécimens tous droits sortis d’un asile après des actes horribles que l’on ne décrira pas ici, tanguait au rythme de leur degré d’alcoolémie rendant l’opération particulièrement longue. Il s’était écoulé assez de temps pour que le Trickster balance un cocktail molotov de sa composition dans le hall du château qui s’éclairait désormais alors que se propageait l’incendie. Dans quelques années, au-delà des restes du pont-levis, s’élèverait le Palais des Glaces aménagés dans les ruines, ses quartiers dans Spooky Island. Mais pour le moment, le Château partait en cendres. Seuls resteraient une de ses ailes et quelques tours menaçant de s’écrouler. Pour l’heure, il brûlait dans une odeur de pneu.

D’autres cinglés arrivèrent avec des baffles et des tréteaux mal équilibrés, et on entendit bientôt résonner les plus grands tubes des années 40-50, accompagné par des inconnus sous acide qui tapaient sur les poubelles en métal. Les gobelets rouges se remplirent d’alcools, de bières et de whisky, tandis que le Trickster s’était trouvé une couronne, reliquat des costumes du parc de l’époque. Dessus, on devinait l’étiquette Cendrillon. Cela le fit rire, parce que la princesse portait ce nom à cause des cendres du foyer où elle travaillait. Ce soir, son château finirait dans le même état. Un sbire déguisé en majordome sur le haut et en slip kangourou sur le bas lui présenta un saladier remplit de pilules, des médocs volés dans un hôpital. Il en prit un comme s’il s’agissait d’un bonbon délicat et le goba.

On fit installer deux trônes aux noms des deux membres de la Cour Sacrée qui avait "parrainé" les activités du Trickster. Aucun d'entre eux n'avait répondu à l'invitation. Plus tôt, Dope avait pleuré de rage comme un ado contrarié avant de se ressaisir. Ils avaient sans doute déjà d'autres obligations, alors il les honorait symboliquement en leur réservant une place de choix. Une armoire à glace recrutée dans les milieux de skinheads gardaient les fauteuils, seuls éléments neufs et luxueux, menaçant les toxicos et les psychotiques de coups de batte de baseball. L’étrange crémaillère se déroulait là, ressemblant davantage à une sortie d’asile psychiatrique que de véritable moment de convivialité.

_________________


ANAPHORE
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https://darkasmidnightsun.forumactif.com/t252-the-trickster https://darkasmidnightsun.forumactif.com/t262-the-trickster-i-like-being-bad-it-makes-me-happy https://darkasmidnightsun.forumactif.com/t263-the-trickster-unofficial-soundtracks
Luke Kelley
Luke Kelley
administration
Personnage
(2025) Let's twist again | ft. Luke Xxqq
Nature : Mutant, descendant.
Âge : 187 ans [11.11.1845]
Alias : Miseria.
Occupation : Crevure. Paladin, ils disent. Tortionnaire de Damoclès.
Statut : Myocarde crevé ; l'homme comme un spectre vorace. (Dans un avenir très proche, le retour des feux de l'amour italiens aka la telenova CLARUKE).
Zone libre : (2025) Let's twist again | ft. Luke 9dvj

« Sac de viande abritant les pensées, l'espace d'un lent battement de cœur. Rien. Le corps ne servait à rien. On le pensait, on le croyait en imbécile  ; on le trouvait beau, agréable, on osait s'en vanter, le voir en vaisseau porteur de joie, et un jour il cassait, et il se révélait vain et creux autant qu'une conque, qu'un cor de guerre ; seul le souffle l'anime, et sa structure n'est qu'un cadavre. »


Mutation : [socle commun] (nv1)
-------------------
Thème : (UNE) LICHE [de l'allemand « leiche » : « corps/cadavre »] ; entité monstrueuse. Puissant sorcier ayant abandonné son humanité pour obtenir l'immortalité. Mort-vivant dont la conscience n'a pas encore été entièrement pulvérisée. Des dons associés à la manipulation du corps. Le sien ou celui d'autrui. Le sang, la chair, les os ; substance de l'existence qu'il absorbe, qu'il dévore. Afin de persister dans un état dit tangible.
-------------------
[socle singulier]
[Manipulation organique] (nv5) manipulation du sang, de la chair et des os (lui-même ou autrui). Par contact, ou dans un rayon de 20 mètres.
[Manipulation énergétique] (nv4) Absorption de l'énergie vitale (impalpable, ou par le sang) ; monstruosité anthropophage.
Entraves : Mort-vivant, conscience morcelée, pulsions mortifères. Parasite. (...)
Infos diverses : [Taille] 1m85 | [Poids] 78kg
Date d'inscription : 22/03/2024
Messages : 59
Dollars : 225
Faceclaim : Matteo Martari.
Crédits : (quote) J. Niogret, WarHall (av + crackship + sign) Selfmade (vid) Love (gifs) Matteomartaridaily-tumblr (img) unknow-pinterest (conneries) possibles dispersées, made in Clarissa l'apprentie sorcière.
Infos Rp : Présence régulière. Réponses en ordre aléatoire ; ne le prenez pas personnellement. Certains sujets me demandent moins de réflexions (et surtout de neurones) et sont donc màj plus rapidement.

Sujets en cours :
-- CLARISSA (I) - flashback XIX siècle
-- DOPE - flashback 2025
-- SHOGO - flashback 20xx
-- CLARISSA (II) - flashback nov 2032
-- VANCE - xx 2033
Thèmes abordés : Langage cru, toxic behaviors/masculinity, age gap, troubles psy, ptsd, violence physique/morale, religion/secte, sexe, gore, body horror, mort/meurtre, cannibalisme, guerre.
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Message(#) (2025) Let's twist again | ft. Luke Empty10.05.24 12:37


LET'S TWIST AGAIN
LA, june 2025 | ... eleven o'clock, twelve o'clock, rock. We're gonna rock around the clock tonight, put your glad rags on and join me, hon'. We'll have some fun when the clock strikes one. We're gonna rock around the clock tonight. We're gonna rock, rock, rock, 'til broad daylight. We're gonna rock, gonna...

✦   ✦   ✦

Mémoire en esquilles, des relents de gerbe aux profondeurs de la gueule.
Trajectoire aléatoire à travers le sud, ses instincts pour dicter sa conduite, sa faim pour ébouillanter ses sens. Lorenzo qui n’est plus tout à fait Lorenzo. Lorenzo éparpillé à travers le temps, ne subsiste ce jour que Miseria et quel jour putain quel jour. Les yeux roulent dans leurs orbites et le nase se soulève. Les odeurs, il les déguste, les avale, les recrache dans un soupir devenu râle. Des jours qu’il traque. Des jours en semaines sans que les mois d'avant lui reviennent. Obsession mortifère pour une entité qu’il ne saisit pas. Merdeux guidant sa bande de crevards vadrouillant dans les artères de la cité maudite. Les couronnés pour lui balancer un domaine. Un territoire mis en charpie.
Un incendie propagé souffle ses notes acrimonieuses. Elles crament sa trachée puis ses bronches. Paupières battent sur les onyx et le fauve dérive encore. Car avec l’incendie se mêlent les nuances de sang, de sueur, de merde et de pisse ; de putréfaction. Corps inanimés corps invisibles corps planqués corps perdus. Cadavres de junkies dont il reconnait les senteurs. Plus rien ne l’écœure. Le sang le sang toujours le sang, le sang en unique mélodie sachant ravir son cœur. Le sang qu’il entend battre, tambours de guerre, apocalypse prochaine ; torrents en multitude à l’assourdir. Il approche et il se coule à la fête. Parc d’attraction démoli, des ruines sur d’autres ruines encombrées de ruines aux formes vaguement humaines. Un sourire tranche sa face, creuse ses joues piqués de poils autant que de crasse, dévoile ses ratiches trop blanches et trop longues. Pas de joie, jamais de joie, plus de joie. L’égarement de son excitation prédatrice.
L’horizon bousillé par un trop-plein de couleurs, les rétines brûlées par les émanations et le soleil qui lui tape sur le râble. Une chaleur à tuer ; une chaleur attisant la violence qu’il garde fermement entre les côtes, entre les dents, sous l’ovale du front. Se musser dans la misère des tarés comme une seconde nature. Il est fantôme, il est anonyme. Et il n’a d’yeux que pour elle en lui : sa cible aveuglante sous la clarté, sa tignasse blonde pour briller comme celles qu’ont les anges sur les peintures de l’avant ou de l’après lui en lui en qui ; souvenances-fractures il dérive une énième fois et se cogne brutalement au réel. Trébuche. Le cuir de ses godasses ripe au bitume. Il en éclaterait de rire, s’il n’avait pas envie de lui ouvrir le buste en deux. S’il n’avait pas envie de démolir le beau qu’exhibe la proie alors qu’elle suinte l’horreur. Son parfum comme un poison, comme une gangrène lui chatouillant le museau et allumant sa rage.
Aimanté à l’incompréhension d’un tel spécimen. Une éternité à errer, pour finalement effleurer au hasard des rencontres des êtres tordant son tangible. Un putain de réel couvert des miasmes de l’ennui. Cet être-ci le captive. Sa chair toxique autant que ses artères charrient une liqueur absurdement rance. Dope est un mensonge.
Miseria songe qu’il serait bénéfique de bouffer tous ceux qu’il perçoit à proximité. Ne laisser que lui et lui au milieu d’eux. Et qu’il parle et qu’il explique et qu’il justifie les conneries les boucheries les éclats de rires sans rire qu’il a entendus à force de le suivre. De l’écouter. De le renifler sans mordre. Car. Des jours de traques en semaines sans que les mois d'avant lui reviennent.
Il se tait. Inapte à la parole, inapte à l’approche. Pas encore. L’envie de bâfrer au point de gémir. Et gémir, c’est ce qu’il fait, sans même s’en rendre compte. Tordant ses longs doigts osseux les uns aux autres, retenant les pulsions quant à son intime palpite l’Anima à le rendre dingue. Il voudrait les faire taire, ceux à l’intérieur – ceux auxquels il a promis son existence mais d’existence Miseria n’a pas. Il voudrait leur brailler de dégager, il voudrait probablement les démembrer pour ne plus rien ressentir rien ressentir plus rien ressentir que le vide absolu le vide qui aspire le vide en solitude qu’il ne connait plus. Il a promis promis il a promis à Sibylle de rester de veiller de se cramponner. Alors. Les paladins sont encore entiers et c’est un drame. Dégénérer encore, dégénérer perpétuellement et se paumer pour de bon à travers les layons de l’univers.
Le sourire s’est éteint aussi vite que les yeux ont harponné un morceau de chair. Sa proie désormais à moins de dix mètres. Dope Dope il s’appelle Dope, Dope Dope ils l’appellent Dope. Dope planté parmi ses zonards.
Miseria étouffe du bordel.
De la musique merdique crachée par les enceintes. Des cris des connards.
Un bledard rachitique lui percute l’épaule et la nécrose est immédiate. La nécrose en punition. Sa rage expulsée comme on allume une cigarette, sans précipitation. Coincée entre les crocs, pinçant le filtre, aspirant la mort. Le sourire reparaît et le crève-la-faim oscille, hoquette, cherche à comprendre son bras pourri à l’extrémité et si vite rongé par la vermine jusqu’à la gorge. Le couper ou ne pas le couper. L’arracher ou ne pas l’arracher. Se laisser envahir et puis- Et puis ça gueule, bien fort. Mais pas assez pour alerter les autres, pas assez pour inquiéter car rien n’a de sens, ici. De fait, ça glapit et ça appelle à l’aide et ça se vautre à trois mètres en chialant quand Miseria se cale à un mètre de Dope. Observe son profil. Dégringole sur la couleur du short qui lui pendouille sur le bas du bide, remonte sur le glabre du torse exposé par la chemise ouverte. Pas une allure de leader. Une allure de môme pour dissimuler le monstre.
Dans combien de temps ? lâche-t-il enfin.
Sans desserrer les machoires.
Dans combien de temps il pourrira, lui aussi. Nourrissant les pissenlits et les orties, offrant sa viande aux vers dodus et blancs et achevant de faire chier le monde entier avec ses neurones grillés par l’abus de-
Battoirs enfoncés dans les poches de son blouson, sa chemise au-dessous poussiéreuse mais sèche. Le froid de son corps tout juste tiédi par l’astre perché, par la température ambiante. Macchabée badinant en enfer.
Miseria mâchouille le néant entre ses molaires, s’attaque ensuite à sa lippe. Écorche à faire saigner, passe ses nerfs.
La musique, il articule.
Se foutant de tout. Obsessif.
La musique trop forte, la musique qui lui explose l’encéphale. Le regard aux cernes glauques se paume non plus sur Dope mais aux contours d’un gorille ayant abandonné son poste ; la surveillance de deux trônes pour qui et pour quoi. Les couronnés - absents, la Cour -réclamée, et l’absurdité de la vision le fait marrer. Un rire sec, rayé. Dans la gorge, du gravier.
Faut pas.
Qu’il approche qu’on l’approche qu’on le touche.
Il a faim et puis ils l’emmerdent, tous.
Faut pas, il répète.
Sa voix en murmure, en éboulis. À ne rien entendre. À disparaître au capharnaüm.
Cette fois plus de sourire plus de rire et l’attention portée de nouveau sur Dope Dope qui a bougé Dope qui a glissé Dope dont l’odeur se répand et inonde ses perceptions.
T’as quoi dans les veines.
Question primordiale et tant pis pour le gorille qui chute, violemment, à distance d’eux ; perd la batte de baseball avec laquelle il escomptait lui déconstruire la figure et lui remodeler les jambes. Ses jambes, à lui, se sont brisées nettes. Le don à l’invisible, le “faut pas” explicité sans bruit, l'impulsion macabre de ses aptitudes contre-nature. Et la faim sitôt s’intensifie. Aux tympans, ça résonne encore. Le craquement audible, sinistre. Un énième craquement s’en suit, éveille l’intérêt fragile de Miseria ou Luke et où est Lorenzo où est Lorenzo qui est Lorenzo. Le crâne bascule de côté et la bouche s’entrouvre. Le fautif mate les jambes pliées désormais dans le mauvais angle du gorille qui se traîne comme un putain d’asticot. Les quilles pareilles à des équerres disposées là, sous lui, pour soutenir sa douleur.  
Fallait pas, j’ai dit, chuinte-t-il à l’intention du gorille ou de Dope.
Du gorille et de Dope et de tous ceux dont les globes oculaires convergent dans sa puis leur mais sa surtout, direction. Une explication sans excuse et l’indifférence pour lui peindre les ridules.
Alors… il recommence. Il s’obstine, il s’aliène.
Dope.
La tête remise dans l’axe. Cette fois l’attention rivée, épinglée, sur Dope. Dope qu’il poignarde de son regard-cutter, oubliant pour quelques secondes ce et ceux qui les enveloppent.
T’as quoi dans les veines.
Pas du sang ou peut-être que si. Du sang son sang qu’il sent quasiment bouillir, les flux et ondoiements du corps de Dope giflant ses sensations déréglées. Du sang nucléaire.
Et il devient difficile, de l’entendre. Tellement difficile de l’entendre lui et d’écouter en contraste la réponse de Dope oui Dope Dope ils l’appellent il s’appelle Dope. Car maintenant il y a les cris du gorille en plus des cris du crevard et il y a les cris de panique au milieu des cris de délires au-dessus de la voix nasillarde des enceintes qui répète we'll have some fun when the clock strikes one et qui répète we're gonna rock around the clock tonight et qui promet we're gonna rock, rock, rock, 'til broad daylight.

@Dorian Parker

_________________
I'm a dead man walking, hell's at my door. I'm a shadow of the man I was before. I'm a dead man walking. Before I die, I'll take every soul I can into the night. Embracing all the blood that's spilled. Expect more gore and violence.
D E A D . M A N . W A L K I N G
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